Il ne reste plus grand chose de mes études de la langue allemande. C’est ce que j’ai pu constater lors de mon séjour à Berlin. En profitant du vol direct depuis Montpellier avec Transavia, j’ai découvert la capitale Allemande pour la première fois et j’ai été emballé par ce que j’ai pu voir durant mon séjour. J’ai admiré la Porte de Brandebourg et j’ai pris le temps de faire quelques croquis dans la ville. J’ai pu profiter de l’air frais dans les parcs et déambuler dans le jardin de Tiergarten.
Quelle jolie langue !
Une chose qui m’a frappé durant mon voyage à Berlin, c’est l’avance que les allemands ont sur nous français dans la gestion des déchets et la protection de la nature intégrée au coeur de la ville et des lieux publics. La consigne est active sur les bouteilles en verre. C’est le signe indubitable d’une Kolossale cohérence. En France, il faudra des années de réflexion pour venir à bout du greenwashing sur le recyclage des emballages à usage unique.
Ce point environnemental étant fait, je peux témoigner de l’émotion que j’ai ressenti devant le mémorial du mur de Berlin à Bernauer Strasse. J’avais une dizaine d’années lors de la chute du mur. Le voir devant moi et ressentir les souffrances qu’il a causées, c’était le moment le plus fort et marquant de mon expérience Berlinoise.
Sur le régime alimentaire Kebab / Currywurst, je suis arrivé rapidement à saturation. Alors je passerai donc rapidement sur l’impression que m’a fait la nourriture. Il y a sûrement de meilleures adresses.
Pour compenser mon régime dissocié, j’ai beaucoup marché durant mon séjour et Berlin est une ville très vaste. J’ai bien exploité mon Guide du Routard. Balade avenue du Kurfürstendamm, visite du Parc de Tempelhof, journée à Potsdam et découverte du château de Sanssouci. L’autre point que j’ai apprécié à Berlin c’est le réseau de transport qui permet de se déplacer facilement d’un point à un autre.
J’ai bien profité de ma virée Berlinoise. Une fois de retour chez moi, je prolonge mon expérience en regardant La Vie des Autres et en lisant la Trilogie Berlinoise de Philip Kerr puis Alexanderplatz le roman d’Alfred Döblin.
Ich komme wieder